Bons alliés de la routine alimentaire nutritive, les jus gagnent une place fixe dans le menu de ceux qui recherchent l'énergie pour le corps. Le jus rose, en particulier, a commencé à se démarquer comme l'un des plus appréciés du Brésil. Sa renommée a commencé en Europe et s'est rapidement répandue dans le pays sur les réseaux sociaux, principalement via l'application Instagram. Sa couleur incroyable attire l'attention et attire la curiosité. En plus d'être appétissants, les bienfaits de mélanger la betterave crue à l'orange, le matin, garantissent une vitalité pour une journée plus rentable.
L'ingrédient responsable de la belle couleur du jus rose est en fait la betterave, qui augmente la valeur nutritive de la boisson en raison de sa grande quantité de nutriments. Cru, il contient des vitamines A, B1, B2, B5, C, du potassium, du sodium, du phosphore, du calcium, du fer et du manganèse. Pour maximiser ses bienfaits, une astuce consiste à combiner avec des aliments sources de vitamine C, comme l'orange et l'acérola.
Les nutriments contenus dans les oranges garantissent le fonctionnement du cœur et du système digestif, en plus de contribuer à la lutte contre le cholestérol. La vitamine C contenue dans l'orange contrôle la pression artérielle, stimule les fonctions intestinales et renforce votre système circulatoire pour qu'il fonctionne mieux. Le fruit aide également à maintenir la défense du corps et laisse la peau encore plus belle.
Rappelez-vous toujours que l'idéal n'est pas d'ajouter du sucre, des conservateurs ou des édulcorants chimiques. Si le jus est acide à votre goût, essayez d'ajouter un autre fruit plus sucré au jus, comme l'acérola, par exemple.
Faites votre jus rose!
Comme ce jus peut varier ses combinaisons, nous laissons une suggestion riche en source d'énergie et en vitamine C. Profitez de la polyvalence de ces ingrédients pour réaliser vos propres mélanges.
1 betterave moyenne
1 carotte moyenne
Jus d'orange
100 ml d'eau
Battez tout dans un mélangeur avec de la glace
Source: Livro Dos Alimentos, par Paulo Eiró Gonçalves, MG Editores, 2002.
